Réponse du DP à la lettre ouverte

  1. Comment prendre mieux en charge, aux niveaux national et communal, celles et ceux qui, pour une raison ou pour une autre, sont « loin de la culture » et qui ne partagent pas nos « codes » culturels, afin de développer, ensemble avec les concerné(e)s, des projets et programmes vraiment « inclusifs » ?

Afin de garantir une cohésion sociale, nous allons soutenir la vie commune harmonieuse de toute personne, vivant et travaillant au Luxembourg et encourager la participation active à la vie sociale. C’est pourquoi une loi relative à la vie interculturelle a été adoptée sous l’égide du DP, qui vise à offrir aux gens un large éventail d’informations et de formations, à les rapprocher et à favoriser les échanges ainsi que la cohabitation au sein de notre société. Nous considérons les communes et les associations actives dans le domaine de la cohabitation comme des partenaires importants. Nous les soutiendrons activement et financièrement dans leurs efforts en matière de cohabitation interculturelle grâce aux nouveaux instruments « pacte citoyen », « pacte communal » et « commission communale », ainsi qu’à des conseillers en cohabitation interculturelle au sein de la fonction publique et à un coordinateur local ou régional. Le « Conseil supérieur » remplacera à l’avenir le « Conseil national pour les étrangers ». Les compétences et la représentation sont ainsi redéfinies et élargies.

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Réponse du CSV à la lettre ouverte

Pour le CSV, la culture est un droit fondamental. La culture contient la diversité et représente l’âme d’un pays. Elle renforce la cohésion sociale et favorise l’intégration. C’est pourquoi nous voulons promouvoir la culture dans les régions et les communes, et renforcer son caractère et son ancrage local. Nous avons également besoin de davantage de culture dans les structures pour migrants et pour réfugiés.

Le CSV continuera à mettre à la disposition de la culture les moyens nécessaires pour mettre en place les conditions-cadres adéquates pour les artistes et les professionnels de la culture et de soutenir leur professionnalisation. Pour notre parti, le rôle de la politique n’est pas de diriger la culture, mais de lui fournir un environnement dans lequel elle pourra mieux se développer.

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Réponse de Déi Gréng à la lettre ouverte

En tant que déi gréng, nous aimerions remercier Forum Culture(s) pour votre lettre ouverte aux partis politiques tout comme pour votre engagement en faveur de la vie culturelle au Luxembourg. Nos réactions a à vos affirmations et questions reprennent les thématiques mises en avant dans votre lettre. 

La culture comme enjeu sociétal

Tout au long de la pandémie, nous nous sommes engagés pour que l’importance de la culture et des acteurs culturels soit reconnue dans le cadre des restrictions mais aussi des aides mises en place par l’état. Concernant l’orientation de la politique culturelle pour les cinq ans à venir, nous estimons que, face à des temps économiquement incertains, il s’agira de garantir des structures et des budgets pour la culture qui résistent à la crise. Pour trouver ensemble des réponses viables aux défis de notre temps, la politique culturelle est donc un domaine politique central. Cela est d’autant plus vrai pour le Luxembourg, dont la diversité culturelle et linguistique constitue une part importante de notre identité. .  Si, en revanche, le portefeuille de la culture est négligé, nous serons tous perdants.

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Réponse des Piraten à la lettre ouverte

Comment prendre mieux en charge, aux niveau national et communal, celles et ceux qui, pour une raison ou pour une autre, sont « loin de la culture » et qui ne partagent pas nos « codes » culturels, afin de développer, ensemble avec les concerné(e)s, des projets et programmes vraiment « inclusifs » ?

Des visites de théâtres ou de musées ne font pas partie de la vie quotidienne de tous les ménages. Certaines personnes ont par exemple des réserves face à une participation à un concert classique, parce qu’ils ne se sentent pas à leur place dans le monde de la musique classique, comme ils n’ont pas grandi avec. Afin d’éviter des peurs et méfiances il est donc important de mettre les enfants en contact avec la culture dès leur plus jeune âge en travaillant en étroite collaboration avec les écoles et les structures d’accueil.

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Mündige Kulturbürger sind nicht gewollt

Kulturpolitik in den Gemeinden
Leitartikel Luxemburger Wort 1. Juni  2023  Daniel Conrad
 
Die erste Auflage des Usina-Festivals2022 machte Lust auf mehr solcher Veranstaltungen an dem Standort Neischmelz. Aber reicht das als kulturelles Konzept der Gemeinde
Die Parteien verschlafen eine große Chance, über die Kultur in den Gemeinden mehr als nur Akzente zu setzen.

Es gibt zu wenig echte, niederschwellige Kulturarbeit in den Gemeinden. Mit jedem Tag, der vor den Wahlen verstreicht, wird das deutlicher. Nur Säle hinzustellen und ein kleines Team von Kultureinkäufern und Technikern zum unterhaltsamen Bespielen abzustellen, ist zu wenig; geschweige denn, lediglich die wichtige lokale Kulturvereinsarbeit mit etwas Geld zu gewährleisten. Es braucht auch an der Basis mehr professionell durchdachte Kulturprojekte – und nicht noch mehr steinerne Hüllen ohne Inhalt auf lokaler Ebene.

So hart wie das klingt, wird es doch aktuell an vier Positionen deutlich. Erstens: in der Einladung der am 15. Juni startende Veranstaltungsreihe „Debattekultur: eng Kulturdebatt“ in Neimënster. Zweitens: die Kritik von Richtung22; das Kollektiv moniert mit plakativem Aktivismus aktuell die Escher Kulturpolitik. Drittens: die nüchternen und ernüchternden (Besucher-)Zahlen aus den Bilanzen des Kulturhauptstadtprojektes Esch2022 und den darin angeschlossenen Südgemeinden. Viertens: die Stellungnahme des Forum Culture(s) zu den anstehenden Wahlen in einem offenen Brief. Und das sind nur die aktuell sichtbarsten Quellen.

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Lettre ouverte aux partis politiques

Lettre ouverte de Forum Culture(s) aux partis politiques

(Les réactions des partis politiques sont datées)

  • La culture comme projet sociétal, comme bien public et comme enjeu politique: bien commun, droits culturels, démocratie culturelle, émancipation, participation. Tels étaient les concepts-clefs du Manifeste Culturel d’octobre 2008, puis du Pacte culturel signé par 6 partis politiques le 6 décembre 2008. Il était dit, par ailleurs, qu’il faudrait faire de la culture, des arts, de la recherche et de l’innovation, « une ressource stratégique pour notre société » où la créativité, le savoir et le savoir-faire seraient devenus nos nouvelles matières premières.

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An guten Ideen fehlt es wirklich nicht

Parlament debattiert zum Teil sehr harmonisch über den Kulturentwicklungsplan
 MARC THILL Luxemburger Wort 29. April 2021

An Zitaten haperte es wirklich nicht – auch nicht an einigen guten Ideen. Richard von Weizsäcker, Albert Schweitzer, Bertolt Brecht und August Everding wurden zitiert, auch der verstorbene Kulturminister Robert Krieps war dabei, und sogar einige Verse der am Vortag mit dem Servais-Preis ausgezeichneten Lyrikerin Ulrike Bail erklangen im Plenarsaal. Ja, im Parlament ging es gestern ganz kulturell zu. Die Musen waren da, und wie Kulturministerin Sam Tanson (Déi Gréng) hervorhob, verlief die Debatte sogar in bemerkenswerter Eintracht und Harmonie. Kultur vereint!

 

Auf der Tagesordnung stand eine Orientierungsdebatte über den Kulturentwicklungsplan, kurz KEP, der nun in Musik umgesetzt wird und dabei der Kultur insgesamt zu einem neuen Stellenwert in der Luxemburger Gesellschaft verhelfen wird. Die CSV hatte nach dieser Debatte gefragt, da sie der Meinung sei, so die frühere Kulturministerin Octavie Modert, dass der Kulturentwicklungsplan eine parlamentarische Begleitung brauche, was auch von allen anderen Parteien begrüßt wurde. Schließlich seien es am Ende die Gewählten der Abgeordnetenkammer, die das Kulturbudget akzeptieren und damit auch dem größten Teil der Kultursubsidien aus der öffentlichen Hand zustimmen würden. Eine Motion der CSV, um vor allem den Kultursektor noch weiter zu professionalisieren, wurde im Anschluss an die Debatte vom Parlament angenommen.

Meilenstein der Luxemburger Kulturpolitik

Die Präsidentin der Kulturkommission Djuna Bernard (Déi Gréng) trug zu Beginn der Debatte ihren Bericht über diesen Meilenstein der Luxemburger Kulturpolitik vor, in dem sie vor allem die Entstehungsgeschichte des neuen kulturpolitischen Instrumente erläuterte. Etwas weiter zurück in die Geschichte ging derweil ihre Parteikollegin Josée Lorsché, die aus einem Strategiepapier des früheren Kulturministers Robert Krieps (LSAP) zitierte und auch auf ein Weißbuch der ebenfalls früheren Kulturministerin Erna Hennicot- Schoepges (CSV) verwies. 39 Jahre nach Robert Krieps ist es jedenfalls nun an der Ministerin Sam Tanson, den ersten Kulturentwicklungsplan in Luxemburg umzusetzen.

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Parlament /Der KEP als kulturpolitischer Kompa

tageblatt 30. April 2021

Das Parlament hat sich gestern Nachmittag während einer Orientierungsdebatte mit dem „Kulturentwécklungsplang 1.0“ (KEP) und insbesondere mit der Umsetzung der darin enthaltenen Empfehlungen zur Kulturpolitik für den Zeitraum 2018-2028 befasst. Die Promotion des künstlerischen Schaffens und der bessere Schutz der Kulturschaffenden waren Schwerpunkte.

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Une autre approche “verte” de la culture

« L’expérience de Grenoble explique en grande partie l’extrême méfiance du monde culturel envers les écologistes »

Les milieux de l’art ont souvent la fibre verte dans l’isoloir, mais pour leur métier, la fébrilité les gagne alors que les écologistes veulent mettre l’accent sur une culture populaire et participative.

Chronique. Disons que jusqu’à dimanche on se souciait peu du programme culturel des écologistes. Mais ils ont pris Lyon, Bordeaux, Strasbourg, Besançon, Annecy, Poitiers, Tours, peut-être Marseille. Comme les villes sont le premier financeur de la création, loin devant l’Etat, les milieux de l’art écoutent, s’échauffent et se posent des questions. Beaucoup de questions. Ils ont souvent la fibre verte dans l’isoloir, mais, pour leur métier, la fébrilité les gagne, estimant, à tort ou à raison, qu’ils ont plus à perdre qu’à gagner.

Ceux qui s’inquiètent sont les lieux « institutionnels ». Les théâtres, musées, salles de musique et surtout les opéras. Pour une raison simple. Ces bâtiments imposants, souvent plantés au centre-ville, se taillent la part du lion dans un budget culturel municipal. Autour de 80 % si on les met ensemble. Autour de 25 % rien que pour un opéra, qui emploie souvent un orchestre, un corps de ballet, un chœur.

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Kultur an de Wahlprogrammer

Wéi wëllen déi verschidde Parteien d’Kultur geréieren? Wéi eng Plaz huet d’Kultur bei de verschiddene Parteien an op wéi enge Sujete läit de Schwéierpunkt? Wat verstinn d’Parteien ënner dem vaste Begrëff Kultur? E Bléck an d’Wahlprogrammer.

26. Sep 2018 – 09:23     Valerija Berdi / cbi

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